• Je suis un assasin

    Je suis un assasin  Synopsis : Sébastien est un enfant que l'ont pourrai qualifier    de dérangé. De l’extérieur sont image reflète un solitaire qui    n'aime pas la vie de groupe. Il dégage une aura un peut    particulière et peut se montrer parfois violant. Mais de    l’intérieur il est une personne totalement différente. Personne  fier qui n'a peur de rien et qui assouvis sa soif d'ennuis en  commettant de simple assassinat organisé par un groupe de  particulier... " je me débarrasse juste des déchet de ce monde  " 

     De nouvelles émotions vont alors prendre place dans sa vie  après la rencontre avec une personne des plus étonnante. Il  va finalement vite se rendre compte que ses émotions vont  être un obstacle pour continuer sa vie comme il le faisait. 

     

    Genre: Action, pervers, boys love ( homo )

     

  • Chapitre 1

     

     Le jour se lève, il doit être 6 h 50 étant donné que j’entend ma mère gueuler dans la maison. Je me lève de mon lit et me dirige vers la cuisine. J'y prends un petit déjeuner rapide puis file me préparer. 

    Après avoir finit, je m'en allai à mon arrêt, observant les alentours et les gens qui s'y trouvaient, même si je devais bien avouer que j'avais une grosse envie de leur enfoncer la tête dans le mur d'à côté. Je me retint. Non pas que je sois agoraphobe , je suis juste un S.M, (non pas un sado-maso !) mais un sans-amis.  À vrais dire je m'en foutais fichtrement, je n'aime juste pas la présence de tout ces gens autour de moi ...


      Le bus venait de nous déposer devant le portail du lycée. J'entrai dans la cour et me dirigeai vers le couloir dans lequel nous avions cour. Je me posai dans un coin, enfonçai mes écouteurs dans mes oreilles, puis attendais que le prof arrive. Je regardai tous ces ados qui se ramenaient chacun leur tour devant la salle, parfois me jetant un regard, sans plus d'attention, avant de parler de nouveau à son voisin. Chose que moi je faisais très rarement. J'étais même connu pour être d'une froideur, presque, extrême ... seul les filles trouvaient ça " cool " même si elle n'osaient s'approcher. Ce qui était en sois une bonne idée.  

      J'entendis enfin la sonnerie, tout le monde entrait et je m'empressai de prendre  place aux fond. Le prof venait d'arriver mais  en compagnie de deux nouvelles têtes. Je vis tout le monde s'installer et écouter attentivement le discours du prof sur ces deux là, puis ils se présentèrent chacun leur tour. Quand à moi je restait les yeux fixés vers l’extérieur, je n'avais pas l’intention de faire " amis-amis " avec qui que ce soit dans cette école. Je fut tout de même surpris que l'un d'eux vienne se poser au siège d'à coté, le brun plus précisément. 


    Je fis la seul chose qui pouvait  me distraire durant ces deux heures de français: regarder par la fenêtre. Quoi qu'un peu d'injures de mon voisin  qui semblais perdre quelques parties sur sont téléphone, me faisaient bien rire.

    Le cour venait de se terminé. Durant la pause je me dirigeai vers un arbre et m'asseyais, remettant mes écouteurs. J'entendais ce que les gens murmurais malgré ma musique à fond. Alors je fermai les yeux un instant avant de les rouvrirent. La surprise fut de taille, mon voisin de table version coloreé était devant moi avec un grand sourire.  

    - Qu'est ce que tu me veux ? - demandais-je retirant mes écouteurs -

    - Je peut m’asseoir ?! 


    - Pourquoi ? - répondis-je en arquant un sourcil -

    - ... humm comme ça ! 


    - Désolé mais je doit aller autre part - répondis-je froidement -

      Je me relevai vivement en voyant au loin mon cher voisin de tout à l'heure se rapprocher. Celui-ci me regarda un moment avant de se tourner vers son frère. Ils commencèrent à se chamailler, pour je ne sais quel raison auquel je ne prêtai déjà plus d'attention, et je remis mes écouteurs pour partir: direction le toit du lycée. 

      Étant donné que le prochain cour était de la physique, je n'avait pas vu l'utilité d'y aller (et ne la voyait toujours pas), et j'était resté sur le toit. Au moins personne n'était venue me faire chier. Je m'était mis à rêvasser en regardant le ciel dos au mur, les bras derrière la tête. Je pensais, ou plutôt, je réfléchissais à un peut n'importe quoi pour passer le temps, cela étant toujours mieux que d'écouter un prof qui n'arrive même pas à parler correctement.

       Il était déjà l'heure d'aller manger. Je rangeai mes écouteurs dans mon sac, descendis du toit et partit au self. Au menu, hamburger-frites. Pas spécialement ce que je préférais, mais ça ferait l'affaire. Je pris un plateau en prenant ce dont j'avais besoins et m'installai à  une table de quatre plutôt éloigné, puis entamais mon repas. Je m'attardai à regarder aux alentours pour observer les gens qui passaient, et arrêtais mon regard en direction de l'entrer où je vis les jumeaux. Je n'était pas le seul à regarder, la tête bleue me fis un grand signe de la main, l'autre était plongé sur sa GameBoy. Je détournai le regard sans faire attention et continuai de manger. Je vis alors le Bleu ce rapprocher, malheureusement pour lui j'avais fini, je posai mon plateaux et sortis. Je vis en sortant Castiel qui ne se gênai pas pour me foudroyer du regard. Je ne comprenais toujours pas  le " pourquoi ", et surement que je ne comprendrais jamais. 

      Après la pause du midi nous reprenions par sport, ce qui était plutôt sacrément chiant, sachant que tout le monde avait du se goinfrer de frites et d'un soit- disant bon hamburger. Je rentrai alors dans le vestiaire qui paraissait vide et me changeai. Je sortis et m'installai sur l'un des bancs en attendant que tout le monde sorte des vestiaires. Puis le prof arriva et nous demandait à tous de se s’asseoir devant lui. Ce que je fis. Il nous expliquait ensuite le nouveaux sport au programme.. Escalade.

        Il prit six d'entre nous pour commencer, dont moi dans le lot,  qui grimperais tout comme Castiel et Armin, qui est en fait l'un des jumeaux. Quand aux trois autres ils nous assureraient. On s'attacha à une corde par mesure de sécurité  en faisant le nœud réglementaire et le prof nous donna un premier exercice: aller jusqu'en haut. Ce que je fit sans trop de difficulté. je songeai alors à voir l'avancé des deux autres, mais avec Castiel qui lui fulminait de rage galérant à monter et Armin qui ne me semblais  pas très sportif, ça n’avançais pas. Le roux ne devait surement  pas être à l'aise avec la hauteur vu qu' il évitait de regarder en bas. Après quelques essais ratés pour eux, le prof nous ordonnait, finalement, de redescendre. J'entendis alors les cris rage de Castiel, et les petits gloussements qui venaient de derrière, ce qui ne manquai pas de faire apparaître un petit sourire  de satisfaction sur mon visage.

    Le sport venais de se terminer, ce qui annonçais la fin des cours. Je partis alors en direction  l'arrêt de bus. Le bus n'arrivait que dans une demi heure. Je mis mes écouteurs, et donc la musique à fond dans les oreilles. J'attendais et regardais les passants pour faire passer le temps. D'ailleurs l'attente fut de courte durée car je me sentais épié. Ce qui n'était bien sur pas qu'une impression, je n'avais juste pas vu son arriver. Il était venus se poser à côté de moi et commença à me parler, même si je ne lui répondais pas. Les trente minutes était déjà passées, bien heureusement pour moi, parce que je commençais à me demander quand est ce qu'il arrêterai de vouloir me parler. Il finirai bien par se lasser un jour ou l'autre...

      Je me levai donc et entrai dans le bus. Je pris une place et m'installai tout en longueur, pour bien préciser que cette place était déjà prise.. par mes pied et mon sac. Je regardai par la fenêtre, sans curiosité, mais ne vis rien d'intéressant. Je tournai ma tête de l'autre côté, quand je vis passé dans l'allée au même moment les deux nouveaux. Encore une fois j'essayais de ne pas y prêter attention. Et je doit dire que grâce à son frère, je n'avais pas eu besoins de me le coltiner. Sur ce, je me remis à rêvasser à la fenêtre, quand le bus partit. 

      J'arrivais enfin à mon arrêt, je descendis et rentrai rapidement chez moi. Je rentrai chez moi. Personne n'était là. Je montai directement dans ma chambre, posai mon sac et m'installai à mon ordi sur mont lit. Je surfai un peut sur toutes les pages où j'avais l'habitude d'aller et entamai quelques jeux en lignes. 

       Je fut très vite lassé et il était déjà 20 heures. Je descendis et pris un petit encas en pensant au passage à salué mes parents avant de remonter et de m'installer de nouveau dans mon lit. J'étais maintenant sur les réseaux sociaux en train de parler aux seuls gens auquel je peut parler. Ils ne me connaissent pas, ne m'ont jamais vu, ne savent pas à quoi je ressemble, et ne savent pas comment je m'appelle. Ce que je ne révèle sous aucun prétexte, malgré le fait qu'ils me racontent leur vie sans hésiter, et ce malgré que je sois un parfait inconnu. Je ne sais même pas s'ils savent que je suis un mec, étant donné que ma photo de profil est celle d'une fille.  Alors tout en me faisant confiance ils me parlent et je leur répond comme si nous étions amis depuis des années. Ce soir la seul distractions c'est Anna qui est la seul connecté.


    Anna est en vérité un homme, un peut spécial, étant donné qu'il est gay. Mais personnellement je n'y accorde pas trop d'importance. Je passe une heure ou deux parler avec lui, de tout et de rien. En ayant marre je le salue et me déconnecte... puis regarde l'heure qu'indique mon portable, soupire et pose mon ordi sur ma table de chevet. Je m'installe confortablement, ou du moins essaye, pour ensuite tomber dans les bras de Morphée. 


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique