• [...] Un prince et sa servante

    [...] Un pince et sa servanteIl était une fois un prince et sa servante :

     

        Plutôt mignonne comme histoire, un peu classique d'une histoire d'amour entre un prince et une servante. Mais cela reste néanmoins une très bonne fiction plutôt bien écrite et charmante. Si vous aimez la romance celle ci est faite pour vous ! 

    Synopsis : 

         Une jeune servante se rebelle un jour contre son maître qui l'avait mis à bout, et lui sort tout ce qu'elle à sur le cœur. 

    Que va-t-il se passer pour elle ? ... 

    Genre : Amour 

     

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    /!\ il est interdit, je vous le rappelle de plagier ou d'injurier les fiction, message d'avertissement donner si les règles sont enfreintes /!\

     

    -> fiction de  SakuraKinomito ( joueuse sur AS ) :

    - publier sous sont accord !  

     

    ~ C H A P I T R E 1 ~

     

    Ce que je préférais dans ce palais, c'était les murs je crois. D'un blanc, plus pure que le paradis lui même.


    Je venais d’emménager il y a quelques jours dans mon nouveau chez moi. Mes parents désespérés, par toutes les demandes en mariages que je refuse constamment m'ont envoyés dans ce somptueux palais pour... être servante.

    Mes parents avaient des contacts, et je ne me suis pas retrouvée dans n'importe quel palais puisque j'étais devenue l'une des servantes royale. Cela aurait pu être un minimum amusant si le petit prince pourrit gâté ne m'avais pas choisi pour devenir sa servante personnel.


    Enfin, d'un autre coté les rumeurs étaient bien fondées le prince à la chevelure de feu était bien un prétentieux, enfantin, sarcastique et vulgaire personnage. Il était le fils unique de la famille royale, donc le future roi. Mais le jeune homme n'avait pas l'aire de voir les choses de cette façon et préférait faire ce que bon lui semblait plutôt que de se hâter aux taches d'un futur roi.

    Bon, j’arrêtais de rêvasser à cette fenêtre et me dirigea vers la chambre du prince pour le réveiller. Ce qui n'était pas tache facile. Enfin rien n'était vraiment une partie de plaisir avec lui...


    J'entra dans l’immense chambre et entrouvris les rideaux laissant la lumière du soleil envahir la pièce.
    Je me dirigea avec son plateau contenant son petit déjeune en direction de son lit. C'est vrais qu'il n'était pas facile à vivre comme personne, mais qu'est ce qu'il état beau. Et c'est bien pour cela que toutes les princesses des contrés voisines se battaient à mort pour la main du bel homme. Mais aucune ne semblait lui convenir.


    Il souffla un légé "Huumm" entre ses lèvres. Je posa le plateau, et m’apprêtais à quitter la salle quand je fus stoppée.
    Le prince encore les yeux fermés tenait un bout de mon vêtement de maid et susurra doucement, "Ma guitare s'il te plais..." Oui, ces moments là avec lui sont magique. Il est à la fois, endormis et réveiller, entre le rêve et la réalité. Tout se mélange alors et il ne semble pas être si méchant que ça. C'est vrais.

    Je m'exécuta, sortis la guitare de son étuis et la lui apporta.  Il se tenait alors assis dans son lit, se grattait les cheveux et ouvrit un oeil pour me regarder et me lancer:

    "-Et bien ce n'est pas trop tot ! Oui, ses moments de douceurs ne dure jamais longtemps.
    -Veuillez m'excusez, monsieur.
    -Ahhh, tu veux te faire pardonner ? Et bien rejoint ton bon prince dans le lit royale !
    Ah, j'ai oubliée de préciser qu'il était aussi pervers.

    -Monsieur est joureur ce matin" Puis je quitta la piece.

    Je me dirigeais en direction de la salle de bain du beau jeune homme. Je laissa l'eau du bain couler pendant que je préparais ses vetements, son emplois du temps, et tout ce qu'il devait faire mais qu'il ne faisait jamais. Alors, je m'en occupais en cachette. Sans que le roi le sache.

    Toutes les servantes du Prince ne restait jamais longtemps à ce poste car le prince les faisait devenir folles ! Mais il m'en fallait plus que ca, et ca ne me derrangeais pas de faire ce qu'un prince devait faire. Apres tout c'est comme si je jouais à la princesse, mais en vrais !

    Le prince Castiel arriva dans la salle de bain, habillé de seulement une serviette. Je baissa les yeux à son arrivé et lui donna son emplois du temps. Il le prit et le regarda. Puis me le redonna quelques secondes apres.


    "-Tiens, trouver une femme. Je ne ferais pas ca.
    -Mais vous dev...
    -J'men fou de ses princesse, plus débiles les unes que les autres !
    -Que dirait le roi, s'il vous entendait vous exprimer ainsi ?!
    -Mais il ne m'entend pas,
      dit le prince en se rapprochant de moi. Je ne bougea pas. Il reprit,Ce sera notre petit secret...  S'il me considérait pas comme son petit pantin, j'étais le fantasme. A croire qu'il oubli que je respire moi aussi.

    -Je pourrais vous aidez.
    -Comment cela ?
    -Et bien, vous venez avec moi je vous lis les lettres des prétendantes et vous me dites juste oui ou non. Je rédigerais les lettres de réponces seule.



    Le prince réfléchis quelques instant, avant de lâcher un "Oui !"  Enthousiaste. Je quitta la salle de bain pour trier les lettres en l'attendant.
    En survolant les lettres, je sentais deja que la tache allait étre bien longue. Il n'y avait que du papier rose. des odeurs de fraises et lavandes. Si une licorne était apparue à l'instant, cela m’aurais parut normal.

    Prés d'une heure plus tard, le prince entra dans la salle et se colla à la fenêtre. Je lui lu la première phrase d'une des lettres.


    "-Bonjour mon cher Prince Castiel, je me permet de vus envoyé cette petite lettre de fleurs en espérant que vous voir à mon splendide bal, où j’étincellerais de milles feu et...
    -Suivante.
    Lacha t-il."



    Malheureusement ce fut le cas pour toutes les lettres. Il n'en avait mit aucune de coté. Aucune ne lui plaisait.


    "-Monsieur j'ai terminée, il n'y à plus aucune lettre et vous n'en avez gardé aucune.
    -Alors c'est qu'aucune de ses filles n'est digne de moi.
    -Mais il vous faut vous marier, le roi a une pression des plus lourde sur vous, il faut que cela cesse.
    -Tu me vois avec une petite fifille à papa ? ses petites princesses pourrit gâtés ne me plaisent guère.
    -Monsieur, le devoir d'un prince est de se sacrifier pour son peuple, vous devez prendre vos responsabilités. Je suis totalement d'accord avec vous, mais vous n'avez pas le choix. J'ai moi même vomis des papillons en lisant ses lettres."



    Soudain il se bloqua en me fixant et se mit à éclater de rire. Je ne l'avais jamais vus comme ça. Il ne pouvait plus s’arrêter.


    "Ahhhhh Chiyo, Je ne m'attendais pas à ça ! Aucune de mes bonnes ne m'a jamais parlé comme ça ! D'ailleurs je te trouve plus intéressante comme ça."


    A ses mots je rougis. Je ne suis pas si coriace que ça, et recevoir un compliment du prince me gênais plus qu'autre chose.
    Il s'avancea vers moi, plus lentement que jamais. Et s’arrêta à quelques centimètres de moi et sans me quitter des yeux prit une feuille blanche et dit

    "Faisons un bal. Je pourrais me rendre mieux compte que sur ses lettres."
    Il ne s'était pas éloigné et je devrais me retirer, là maintenant je suis censée partir poliment et faire ce qu'il m'a demandé. Mais mes jambes refusent de bouger.

    Mais c'est alors qu'une des autres servantes du palais entra dans la piece et nous vit ainsi. Elle baissa les yeux et dit au prince qu'il était attendu dans la salle royale.
    Je m'éloigna de lui immédiatement et l'accompagna jusqu'à ses parents. Je resta derrière la porte, mais j'entendais tout.


    "-Castiel, tu seras bientot en age de te marier, il est de ton devoir de trouver une princesse pour agrandir le royaume. Je ne te vois plus qu'avec ta satanée guitare et le fils du Baron.dit le Roi.
    -Mais pere je ne vois pas en quoi Lysandre est une mauvaise fréquentation. Repondit Castiel
    -Non, mais lui s'est trouvée une fiancée. Tu devrais prendre exemple sur lui."


    Apres ce silence je m'éloigna de la porte et je vis Castiel sortir en colère de la salle de trône. Je le suivit tout en gardant une distance suffisante.
    Il se dirigea vers sa salle de musique et ferma la porte derrière lui. Je m'installa à coté, dans le couloir et commença à rédiger les lettres pour les princesses. Cela me prit 2 bonnes heures, et lorsque j'eu terminée je toqua à la porte du Prince Castiel.


    "-Quoi encore ?  cria t-il.
    -J'ai terminée les lettres mon prince. Il ouvrit la porte. Me regarda, regarda les lettres. Il semblait désemparé.
    -C'était pas à toi de faire ca. Bon, bah va les poster."


    Je partis donc les poster, et me dirigea en direction de la salle du trône où j'appercue la servante de la reine. Je lui dit alors de lui faire parvenir le fait que son fils, le prince Castiel avait répondu à toutes les princesses afin de les inviter à un bal. C'est à ce dernier qu'il fera son choix.
    Elle partit immédiatement le dire à la reine.
    J'allais me diriger vers les cuisiniers pour les prévenir quand on m'appela.


    "-Chiyo ne t'enfuis pas comme ca ! C'était Lysandre, le fils cadet du Baron et le meilleur ami du prince Castiel. Je cherche le prince, pourrait tu m'indiquer où il se cache ?
    -Oh  bien sûr monsieur, il doit surement être dans la salle de musique."


    Lysandre me fit un signe de main et se dirigea en direction de son ami.
    Lysandre était une très belle personne. Autant physiquement que de cœur. Il était toujours là à se soucier de tous le monde et ne me considérait pas comme un objet contrairement au Prince. Enfin, ce qui est bizarre c'est que plus les jours passe et plus il se lâche avec moi. Je me souviens que les trois premiers jours, il ne m'a pas décroché un seul mot. Et j'ai vraiment crus que je ne tiendrais pas. Mais petit à petit il a baissé sa garde et je peux lui parler sans qu'il finisse ses phrases par"maintenant dégage !"  Et je trouve que c'est un très grand pas.


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  •  ~ C H A P I T R E 2 ~

     

    Alors que l'heure du repas approchait, je toqua à la porte de la salle de musique pour prévenir Lysandre et le prince Castiel. C'est Lysandre qui ouvrit.


    "-Tiens, Chiyo je voulais te voir justement ! dit le bel homme.
    -Depuis quand tu t’intéresse aux bonnes ? répondit Castiel froidement.
    -Et bien je suis étonnés de savoir qu'elle est restés plus de trois jours à ton service. Elle n'est pas partit en courant et tu ne l'a pas encore viré, et je me demande bien pourquoi. [/b]Dit-il en se caressant le menton et en me regardant.
    -Tu crois que j'ai le temps de me trouver une autre bonne ? Il semblait ne pas vouloir en parler.


    Tout en gardant mon calme, et je vous assure que c'est assez dure... Je répondis:
    "-L'heure du diner arrive, Je tourna mon regard vers Lysandre accompagnée de mon plus beau sourir, monsieur Lysandre reste t-il pour manger  ?
    -Oui et je vais aller prévenirs les cuisiniers.
    Dit Lysandre en partant.

    -Bon, tu as préparés mes affaires ? lanca Castiel.
    -Tout est dans votre chambre"


    Il partit devant et je le suivit. En entrant dans sa chambre, il se changea et s'approcha de moi pour que je lui fasse ses boutons.
    Je sentais son regard sur moi.


    "-Dis Chiyo, pourquoi vous, les servantes vous etes comme ca ?
    -Comment comme ca ?
    -Bah tu sais... Comme des pantins. On peut tout vous dire et jamais vous exprimés vos émotions. Toi tu l'as fais une fois ! Le jour des lettres aux princesses, tu m'as bien fais rire ! mais aprés plus rien. Vous les bonnes, vous n'etes que des automates et ca me faisais rire au debut de pouvoir dire tout et n'importe quoi mais là je me fais chier. Pour des bonnes, vous etes vraiment bonnes à rien. C'est drole non ?
    -Si j'ai bien compris votre requête monsieur, vous voulez entendre mes pensées les plus secrètes ?
    -Oui, tu as tout comprit !"



    Je pris alors une grande inspiration avec la ferme attention d’obéir à mon souvenir. Je le poussa violemment contre le mur et lui lanca :

    "Alors toi, le petit merdeux Premièrement tu vas arrêter de me traiter comme ton petit fantasme sexuel parce que je ne suis pas la pour assouvir les pulsions d'un gamin immature, deuxièmement tu vas me montrer du respect parce que sans moi tu serais méme pas faire tes lacets tout seul ok ? Et dernièrement tu vas te trouver une princesse et j'en ai rien à faire si c'est une pimbêche qui sait que dire "moi je " ok ? Tu te la trouve comme ca moi j'ai beaucoup d'argent, je me barre et je trouve un homme qui s'occupe de moi comme moi je m'occupe de toi ! Je baissa les yeux pris une respiration et reprit, avec tout le respect que je vous dois mon prince."


    Je releva les yeux et perdis tout à coup mon sang froid. Je remarqua à quel point j'étais proche de lui et toute mon assurance s'envola. Ses yeux plongés dans les miens, et le visages si proche que je sentais la chaleur de son souffle sonnèrent l'alarme ! Il fallait que je m'en aille, que je parte. J'avais été trop loin et me voilà trop prés.
    Lui me regardait, il avait un légé sourire sur son visage. Je venais de lui dire tout ce que je pensais de lui, ce qui n'était pas agréable à entendre et voila qu'il sourit !

    Je m'éloigna de lui et partie dans la salle des repas. Je me plaça derrière la chaise du Prince Castiel. Lysandre était déjà là, le couple royal fit son entrés suivit de Castiel qui s’efforça de ne pas croiser mon regard. Je fis de même. Durant tout le repas, le jeune prince ne dit mot, il resta silencieux.
    Néanmoins, à un moment il me fit un signe pour remplir son verre de vin, ce que je fis. Et c'est alors que je sentis sur ma cuisse comme la fraîcheur d'une brise d'été. C'était lui, Castiel avait passé délicatement ses doigts sur ma cuisse. Je me retira brusquement, ce qui le fit glousser.

    A le fin du repas, je l'accompagna dans sa chambre. Il se mit sur son lit, et pendant que je fermais les rideaux, lui prit sa guitare et commença à jouer. Le bruit de ses doigts sur les cordes m’immobilisa quelques instants. C'était si beau, je ne m'en lassais jamais. C'était sa forme douceur dans toute la haine qu'il garde en lui. Elle n'en est que plus belle.

    Mais la vision de la légère caresse du repas me fit reprendre mes esprits et je quitta la piece rapidement. En allant fermer la porte, Castiel me souffla "Bonne nuit Chiyo."


    Le lendemain matin, j'entra dans la chambre de Castiel et à ma grande surprise le prince était levé.
    "-Tiens, Chiyo ! C'est bien ce soir le bal ?
    -Eu o-oui mon prince.
    -Alors j'ai un service à te demander !
    dit Castiel en se levant

    -Tout ce que vous voulez
    -Je ne sais pas danser en fait ! Il faudrait que tu m'apprenne."



    J'acquiescea, lui se dirigea en direction de la salle de bain. Après un bonne heure, le beau Prince entra dans la salle de musique que j'avais un peut ranger pour faire place. Il s'approcha de moi doucement.


    "-Alors, v-vous devez prendre votre princesse par la taille avec une main et avec l'autre, vous saisissez sa main délicatement. Il s'executa.Voila. Alors, normalement ce sera à vous de conduire mais je vais vous montrer. Nous nous mimes à danser.
    -Comme ca ? demanda le prince.
    -Oui mais il vous faudra regarder la princesse dans les yeux. Il leva alors le visage.
    -Tu danse bien Chiyo. Je rougis.
    -Tu rougis Chiyo." Je lui écrasa le pied volontairement. Il refit le méme sourire qu'hier soir. D'ailleurs il ne m'en a pas reparler.


    Apres quelques heures de danse, le prince était prêt. "Bon maintenant, vous allez me conduire d'accord." C'est alors que la musique changea.




    Castiel fit une révérence. "M'accorderiez vous cette danse princesse ?" Je lui saisie la main. Il me prit la taille et nous nous sommes mit à tourner lentement sur la musique. Mes yeux ne pouvaient se séparer des siens, il se rapprocha encore plus. Son coeur battait dans ma poitrine. Nous étions une seule personne. Soudain, il me fit tourner sur moi même et nous avons rigolé. Il me recolla à lui avant de me faire tomber en arrière en tenant fermement mes hanches. Lorsqu'il me remonta nos visages se caressaient. Son front était contre le miens et nos lèvres se frolaient presque. Il remonta sa main jusqu'au haut de mon dos lentement. Se touché si délicat me fit trembler. Je ne voulais plus partir. J'étais si bien blottis dans ses bras. Mais la musique prit fin. Et je m'éloigna. "Vous êtes prêts" Dis-je avant de quitter la pièce.


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  • ~ C H A P I T R E 3 ~

     

    J'entra dans ma chambre et je décida de me faire de petites couettes pour changer.



    Les carrosses commencaient deja à arriver et je voyais les robes des princesses rayonner dans les jardins du palais. Toutes les servantes avaient les yeux collés au fenêtres rêvant d'un jour devenir à leurs tours une princesse.
    Le bal allait commencer, je me dirigea à l'entrée de la porte attendant le Prince Castiel. Le prince qui d'ailleurs se fit attendre, on entendait les gloussements de toutes ses filles à l'interieur. C'est alors qu'il arriva. Plus beau que jamais. Me fis un sourire en entra accompagné de ses parents. Tout le monde applaudit. Les princesses ouvrirent grands leurs yeux, se retouchaient les cheveux, replacaient leurs robes. Mais Castiel n'en regarda aucune et s'assis. Je me rapprocha discrètement de lui,


    "-Pssst, si son altesse veut bien mettre à profil ce qu'on a travaillés toute la journée ! dis-je sur un ton ironique.
    -Tu sais que j'adore quand tu me parle comme ca ?
    -Justement j'aimerais savoir pourq-..."



    Je fus coupés par une entrée pour le moins inattendu. Lysandre accompagnés de deux beaux blonds et un bruns entrèrent dans la salle de bal. Castiel se leva pour aller les acceuillirs.

    Je le suivis un peut en arrière. L'un des deux blonds partit en direction des princesses tandis que l'autre vint se présenter à moi. Il s'appelait Nathaniel, il était le frére d'Ambre, une des prétendantes de Castiel. Le brun est Kentin un amis de Lysandre. Je ne savais pas qui était l'autre blond en revanche.
    Je gardais un oeil sur Castiel qui évitait toutes les princesses, cela avait le dont de m’énerver puisque c'était là une occasion en or de rencontrer des femmes, qui cela dit en passant étaient toutes plus folles les unes que les autres de lui. Mais soudain, l'homme à la chevelure blonde vint m'interrompre dans mes pensées.


    "-Toi, tu sais où est le prince ? dit-il sans méme me regarder.
    -Juste là monsieur. Répondis-je en le montrant du doigt. L'interessé me regarda alors.
    -Hey, mais c'est qu'elle est pas mal du tout la bo-bonne. Dis moi ma jolie, dit-il en m'agrippant le bras, ca te dirais de me montrer ton placart à ballais ? je le visiterais bien en ta compagnie."


    A cet instant je savais que si je le repoussais de moi méme ca allait faire une esclandre et je risquais de perdre mon poste. Ce qui était impossible maintenant. Je lanca alors un regard d'appel à l'aide au Prince, qui ne tarda pas à le croiser. Il accouru vers nous et arracha la main du jeune homme à mon bras.


    "-Dake, que veux tu ?
    -Oh Prince cela tombe bien, je vos cherchais pour discuter un peut mais j'ai desormais une autre requête à vous soumetre.
    -Je ne penses pas y étre soumis. Mais qu'elle est-elle ?
    -Et bien je voudrais vous emprunter cette jeune servante pour... disons, une nuit ou deux."
    Castiel serra son poing.


    "-Je crain que je ne puisse accéder à cette requête. Vous m'en voyez désolé. Mais cette femme est ma servante personnel ce qui fait que je ne peux me séparer d'elle.
    -Bon. Trés bien sire, je prends congé alors.
    il tourna la téte et me dit alors dans un murmure,à bientot."



    Castiel attrapa mon bras, "Tu vas bien ?" Il me regardait avec des yeux ébahis, comme s'il venait de voir un monstre. Il ne me lacha pas le bras, je ne savais pas quoi faire. Je ne savais pas si je devais lui faire reprendre ses esprits et l'éloigner, ou juste le laisser là. A coté de moi, qu'il reste à mon contact.
    Mais la Reine vint nous séparer, apparement énervé que son fils ne profite pas de toutes ses belles jeunes femmes. Elle l'invita alors à danser avec Ambre, la soeur de lord Nathaniel. Je crois que ses parents aimeraient vraiment que Castiel se marie avec elle, pour que les deux royaumes s'unissent à leurs tours. Mais lui ne semblait pas si enthousiaste.


    Lorsqu'il dansait avec elle, il regardait ses pieds alors que je savais très bien qu'il savait danser, il ne faisait aucuns effort ! Cela m'enervait plus que tout puisque j'avais fais beaucoup d'efforts pour qu'il soit parfait pour ce soir.
    Il fit de méme avec toutes les princesses. et je ne pouvais absolument rien dire. A la fin de la soirée, lorsque la salle était enfin devenue silencieuse à souhait je caressais du bout des doigts les instruments inactifs du petit orchestre qui avait joué toute la soirée. Je m'imaginais leurs musique, mais une bien plus douce, bien plus écouté. Juste la musique pour la musique. Les yeux clos je me sentis revivre un peut.


    "-Tu l'entends aussi ? Dit une voix derrière moi. C'était le prince.
    -O-oui. Il m'arrive de préférer la musique quand elle est silencieuse. Monsieur ?
    -Oui ?
    -Pourquoi n'avez vous fais aucun effort ce soir ? Nous avions travaillés si dure..
    -Je ne prenais aucuns plaisir à danser avec ses femmes. Avec toi...
    Il se coupa.

    -Oui ? Je le regardais alors dans les yeux et son regard était different. Comme s'il avait mal.
    -Chiyo, veux tu bien aller préparer ma chambre ? "


    Je m'executa. J'entrouvris la couette de son lit, ferma les rideaux et les fernetres. Je mis sa guitare prés de son lit.
    Il entra, prit sa guitare, et allait jouer mais à au son de la premiere note, la reposa.


    "-Chiyo, j'ai quelque chose à te demander.
    -Qu'y a t-il mon prince ?
    -Je t'interdit d'adresser à nouveau la parole à Dake. Il est malsain. Vraiment.
    -Pour tout vous dire, je ne comptais pas le refaire... J'ai eu peur.
    -Moi aussi.
    Dit il en relevant le visage.

    -D'ailleurs... Merci."


    Il se leva, s'approcha de moi, et me prit par la main. Ma main qu'il tira brusquement vers lui et qui me projeta dans ses bras. Il me serra quelques instants, puis me relacha et partit s'allonger sur son lit, les bras derrière la tete et le regard fixant le vide. Je quitta la piece en silence me forcant pour ne pas perdre pieds tellement mes jambes tremblaient.

    Je ne sais pas ce que tout ca signifie. Enfin je pense savoir mais je n'en suis pas sure. Comment expliquer ca ? C’est comme si mon ame sortais de mon corps et qu’elle entrait dans le sien, des fois c’est dans le mien. Enfin, nous ne formons qu’un et tout est parfais. J’ai envie de vous decrire ce que ca fait de ressentir ca, de toutes les facons differentes. Mais aucun mots n’est assez puissant à chaques fois que je fouille dans mon esprit. L’avez-vous déjà regarder dans les yeux ? non mais je veux dire, pas les couleurs. Ca facon de regarder ? C’est pas fascinant ? Et ses levres… Elles sont magnifiques, vraiment, je les imagine si chaudes, si douces. Comme ses mains et son corps. Il est chaud. Alors que je suis toujours glacée. Il me protége des fois et je suis completement folle. Même s 'il m’enerve c’est vrais, il reste la plus belle chose que je n'ai jamais vus.


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  • ~ C H A P I T R E 4 ~

     

    Les jours passèrent et bizarrement personne au château ne parlaient du choix que Castiel devait faire pour sa future reine. Quand je tentais de lui en parler, l'homme contournait la conversation. Mais j’avouerais que ce n'était pas le seule question qu'il évitait. J'avais essayée de lui reparler du jour où je lui ai balancé toutes ses vérités à la figures. Et que ce dernier, s'est mit à me considérer comme une personne après cela. Mais aujourd'hui c'était trop.
    Je savais qu'à un moment de la journée nous allions étre seul, le prince allait jouer avec ses rapaces dans l’après midi, il m'avait demandé de réparer son équipement pour et des mulots.
    Le moment arriva. Il se dirigea vers eux et les fit voler, c'était si beau que j'ai faillis en oublier mon plan maléfique.


    "-Castiel.
    -Pardon ?
    Il fut étonné que j'ose l'appeler par son prénom, néanmoins il ne sembla pas en colère.

    -Je voudrais savoir maintenant ! Pourquoi le jour où je vous ai presque insulté de sang froid vous n'avez rien dit ? Pourquoi seulement depuis ce jour j'ai le sentiment que vous m’appréciez plus ?
    -Et bien... comment dire.. Hum en fait tu es la première personne à me parler comme ca. Depuis que je suis tout petit toutes les personnes que je côtoie, n'ont jamais élevé le ton devant moi... Jamais personne n'a été vrais ! les servantes, les princesses, même Lysandre parce que je sais qu'au fond notre amitié a été crée de toutes pièces par nos parents. Ma vie est prédis d'avance. Mais avec toi Chiyo... Toi tu me surprends et mieux encore, je me surprends moi même à avoir des comportements inconnus ! J'adore ça... Je peux de moins en moins me passer de toi. C'est si agréable et destructeurs à la fois. Ces sensations me fascines."



    Que devais-je dire ? Comment devais-je réagir et en quel nom ? Une amis, une servante, une femme ?... J'étais alors perdue à mon tours. La question vint se chuchoter à mes oreilles."Toi tu ressens quoi ?"  Je ne dis rien, un des rapaces vint se poser sur son bras. Ce dernier poussa son cris strident.


    "-N'est pas peur Chiyo, il parait un peut effrayant comme ça mais en vérité il n'est que beauté et douceur.
    -Tout comme vous, Castiel."
    Je partie après avoir soufflée ses mots.



    Après cette discussion inexplicable, mes pensées avaient un contrôle permanent sur moi et je ne pouvais rien y faire. Enfin du moins je pensais que c'était elles mais c'était peut être juste moi. Juste mes envies mes ressentis. Mais je préfère chasser ses histoires, pour l'instant je ne peux retenir les questions qui se bousculent dans ma tête.
    Je me dirigea en direction de sa chambre pour ranger un peut. Mais c'est alors que Lysandre arriva en compagnie d'une très belle femme, elle était petite et baissait les yeux. Elles avait de beau cheveux violets qui cachait une partie de son visage. Il me salua et son amie fit de même.


    "-Chiyo, sais tu où se trouve ton maître, je dois absolument lui présenter ma future femme. Elle s'appel Violette. Elle est génial, là où je m'envole dans la poésie, elle fais de méme dans le dessin !  Sa façon de parler était enthousiaste et je devinais là qu'il n'était pas question d'un arrangement économique ou politique.
    -Oui, il est avec ses rapaces."  Il s'y dirigea avec entrain.


    Je partis voguer à mes occupations, j'ai d'abord rangée la chambre du prince et je suis ensuite partie dans la salle de musique pour la nettoyer à son tours. En entrant dans cette salle je ne pus m’empêcher de repenser à cette valse que nous avions partagés ensemble. Elle fut pour moi, comme un vent de bonheur me faisant virevolter et... Mais attendez... Qu'est ce que je raconte ! Non mais regardez moi ? Je fais pitiez à voir ! Et voilà maintenant que je me met à fantasmer sur le prince mais quelle abrutie je suis ! pff je vais devenir l'une de ses gamines qui croit au prince charmant ? Enfin... En même temps, soyons honnête je peux rêver autant que je veux puisque le Prince Castiel n'a vraiment rien de charmant..

     
    Les bruits d'une calèche m'extirpa de mes pensées. Je regarda par la fenêtre et vis une tête blonde que j'aurais reconnues entre milles... Dake. Je ne voulais pas déranger le prince, la dernière fois cet idiot l'avait fait sortir de ses gonds alors qu'il était en plein bal. Là il rencontrait la fiancée de son meilleur ami et il était de mon devoir de le protéger.
    Je m'empressa d'aller ouvrir au jeune homme.


    "-Bonjour monsieur Dake, Je suis vraiment navrée mais le Prince est absent pour le moment peut étre feriez vous mieux de repasser un autre jour ?
    -Mais ma jolie rien ne presse ! j'en croirais presque que tu veux te débarrasser de moi voyons !
      -Oui en fait c'est exactement ce que je veux...-

    -Voulez vous que je vous serve une tasse de thé en attendant sa majesté ?  Dis-je poliment en éspérant qu'il partirait aprés avoir finit ce brunch seul.
    -Oh et bien volontiers ! Mais nous pourrions aussi visiter ton placard tu te souviens ?
    -Oh comme monsieur est drôle en cette belle après midi. Suivez moi je vous prie, je vais vous conduire au salon de sa majesté."



    Dake me suivais et je pouvais sentir son regard pervers jusque dans mes entrailles. Il me fillait la nausée.
    Je l'ai installé à la table et lui servit le thé. Il ne me quittait toujours pas du regard et cela me frustrait. J'allais disposer mais il m'attrapa par la taille.


    "-Et bien, jeune servante divertie moi ! Tu pourrais peut être mettre un peut de musique et danser sur les genoux de ton maître.
    -Vous n'êtes pas mon maître !
    répondis-je froidement.

    -Oh tu sais ça pourrait s'arranger tout sa ! Je ne sais pas pourquoi mais tu me fais envie. Tu semble si pure que ça me donner envie de te détruire ! cela e donnerais une telle satisfaction... Allez Chiyo, laisse toi faire.."


    Il jeta la vaisselles sur le sol et me bouscula sur la table avec violence, je tentais de me debattre mais rien. Je n’osais pas le regarder. "Ce serait dommage de gâcher un corps si pure aussi rapidement, je vais juste en profiter un peu”  Il me regardait, à ce moment même si j'avais voulu crier, je n'aurais pas pu, j'étais tétanisé par la peur, je ne savais pas quoi faire. J'avais peur, trop peur et lui rigolait.
    Il essaya de m'arracher mes vêtement mais prise de panique je le frappa au visage. Il se stopa, et son visage se rempli de colère. Il me frappa, et me projetta contre la fenêtre ce qui fit tomber les rideaux. Il se jeta sur moi mais j'évincais tous ses coups. La rage me prit alors en imaginant toutes ses femmes qui étaient à son service, qui devaient garder le silence si elles ne voulaient pas se retrouver à la rue. Non la vie de chateau n'est pas belle pour tout le monde, les roi et les princesses ne signifie pas forcement compte de fée. En tout cas, elle ne le signifie pas pour nous.
    Il me porta un coup au visage qui me parrue étre aussi douloureux qu'un coup de marteau sur le crane. J'allais perdre connaissance quand il rapprocha son visage du miens. Seul un mot me venait à l'esprit. Il rapprocha son visage de mon corps, et je chuchota “Cast...iel ”
    je sombra.


    Lorsque j'ouvris les yeux j'étais dans la chambre du prince, assise sur un de ses siège par instinct je me leva car aucune des servantes n'avait la permission de s’asseoir sur les meubles de la famille royale. Mais à peine levé je manqua de m'écrouler. Heureusement je me suis sentie retenue. Je leva les yeux un peut confuse. Castiel.
    Je n'en pouvais plus de lui causer autant de soucis, je ne comprenais pas pourquoi moi qui était un tel fardeau, il m’appréciait plus que la convenance.


    "-Chiyo, dis moi que tu vas bien...  La peur se lisait dans ses yeux. Je me releva de ses bras péniblement
    -Oui, veuillez m’excuser de vous avoir causez du souci. A vous, mais aussi à Monsieur Dake qu..
    -A Dake ? mais tu es folle ? Tu as vus ce qu'il t'as fais et toi tu régis comme sa ? Non Chiyo mais ne me dis pas que tu es redevenue une de ses automates !"
     



    Je baissa les yeux, confuse. Pendant un instant j'hésita, mais je ne pu retenir mes larmes plus longtemps. Je n'avais pas mal, je n'étais pas traumatisée. J'avais juste eu peur.
    Les perles salés coule sur mes joues et je ressens alors que ce ne sont pas que des larmes de peurs, ce sont aussi des larmes de désespoir. Qu'est ce que je suis entrain de faire ? Castiel me prit dans ses bras, ce qui vint accentuer mon désarroi.

    Pleurer, pleurer, pleurer. Je ne suis qu'un larme, une larme colossale. J'engloutis les mots, un part un et ils m'engloutissent à leurs tour.  Ce n'est qu'une chaîne infinie, impossible à contrôler.
    Mes yeux se noient constamment et je ne vois plus. Je ne vois plus les belles choses, je ne vois plus le monde, non tout est flou et mes larmes en aveuglant mes yeux, aveugle mon être tout entier. Je ne suis plus la personne. je suis la sensation, la sensation de tristesse, j'ai l'impression de ne jamais arrêter d'avoir mal et pourtant j'aime, oui j'aime ma vie j'aime le rêve et l'amour. Mais Dieu que j'ai mal, que mes yeux sont rouge, et que mon cœur est sec.


    Suis je qu'une lâche ? Je me réfugie derrière mes larmes, elle me cache et me protège de la vérité, de tout ce que je fuis. Elles sont chaudes et rassurantes, et même si elle me font du mal, je les aime. Elles sont miennes, et je leurs appartient.


    Castiel avait sa main dans mes cheveux, il ne semblait pas très à l'aise avec ce geste mais pas par rapport au statue qui nous différenciait mais parce qu'il était Castiel et qu'il n'avait l'habitude d'être comme cela avec personne. Il changeait, je le sentais. Le prince s'adoucissait, je crois que cela lui faisait un peut peur. Mais il ne se refusait pas à se lancer dans cette sensation les yeux fermés. Et je voulais faire de même. Mais cela m'était impossible...

    Je me releva brusquement, fis une révérence et quitta la pièce. Je me dirigeais vers ma chambre quand dans les escaliers je pris conscience que j'avais oubliée quelque chose. Prise de panique je courus en trombe dans la chambre du prince, j'ouvris la porte avec entrain et encore essoufflée de ma course, je suchautta entre deux respiration saccadés
    "Merci."  J'allais quitter à nouveau la pièce quand le Prince m'attrapa la main.

    Castiel se tenait maintenant à quelques centimètres de moi. Il posa ses deux mains sur mes joues. Bizarrement, je ne rougissais pas. Il me regardais de ses yeux verts, pour la première fois humide. Puis, il les ferma et rapprocha son visage du miens. Je sentais son souffle, j'entendais les battements de son cœur. Et aprèss avoir à peine froller mes lèvres des siennes il se retira brusquement et baissa la tête en chuchotant"Oublis ça."


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  • ~ C H A P I T R E  5 ~

    Ce presque baiser tordait mon esprit dans tous les sens. Non, je savais que je n'étais pas l'héroïne d'un de ses contes de fées bidons qui sont là pour nous faire croire que la vie c'est pas si pourrit que ca. -A cet instant je compris-

    Mais c'est bien sure ! Castiel ne faisait que jouer avec moi, il ne faisait que passer son temps sur son nouveau jouet. Et S'il s'était énervé contre Dake c'est parce qu'il ne voulait pas partager son jouet. Tout s'arrete là. Je ressentis une pointe de tristesse en e répétant ses quelques mots pour éviter de me faire le moindre mal...

    Le lendemain je ne fis aucune réflexion, je sentais que cela lui déplaisait, il attendait une réaction de ma part, c'était clair. Mais je n'allais pas lui donner cette satisfaction.

    Soudain, la servante de la Reine entra dans la salon où le prince prenait actuellement le thé. Elle semblait paniqué.


    "-Mon prince, sa majesté votre mère vous demande de toute urgence !
    -Qu'est ce qu'elle me veut ?
    -Et bien.. Je crois que c'est pour votre mariage.
    -Elle a pas fini avec sa ?"



    Il se leva et me fit signe de le suivre. Je m’exécuta. Arriver dans la salle, sa mère assise sur le siège royale aux cotés de son mari se leva et s’approcha de son fil.


    "-Fils, comme tu m'a pas fais part de tes désirs de mariage et que le temps presse, j'ai décidée d'organiser un thé auquel sera convié trois princesses. Il y aura la princesse Iris, doué pour la chasse, la princesse Rosalya qui a une voix magnifique et la princesse Ambre. Entre nous cette femme n'a rien de particulier mais votre union sera bénéfique à notre royaume. Je compte don sur ton statue de princesse pour prendre la meilleure décision pour notre royaume.
    -Mon choix est déjà tout tracé mère."
    Il dit ses mots presque inaudible et je fus la seule à les entendre.



    Il quitta la pièce, je me dirigea en direction de la salle de thé pour préparer cette après midi.
    Les trois princesses ne tardèrent pas à venir et je les accueillis et leurs demandaient de prendre place sur la table.
    Elles discutaient du prince en attendant son arrivé. Il se faisait attendre, je partie le chercher dans sa chambre.


    "-Monsieur, les trois demoiselles sont ici. Elles vous attendent.
    -Je n'ai aucune envie d'y aller, c'est inutile j'ai déjà fais mon choix.
    -Aller au moins prendre le thé en leurs compagnie, vous leurs direz de vous même laquelle des trois vous avez choisi."


    Il leva les yeux. Ses yeux. Mais quels yeux. Ils me procurent toujours la même sensation, ils ne cesseront jamais de me troubler autant. Je le suivis en direction de la salle de thé et le laissa en compagnie de ses trois femme, à contre cœur...
    Je me dirigeais vers la salle royale pour annoncé à la Reine que son fils viendrait lui annoncer sa décision après le thé de cette après midi. Lorsque j'entra dans la grande pièce, la Reine prit soudain la parole:


    "-Ah Chiyo je te cherchais justement ! Le prince va bientôt se marier et je ne savais que faire de toi mais quelqu'un me fit une proposition que je ne pus refuser, de plus c'est une très grande place tu as de la chance.
    -Je te l'avais dis que je serais à toi.
    Je reconnus cette voix.

    -Dake... soufflais-je."


    Deux autres hommes étaient à ses cotés. Ils s'approchaient dangereusement de moi, je voulu crier, appeler Castiel mais l'un d'eux me donna un coup dans le ventre. Tout s'assombrit....


    PDV Castiel:
    Le thé fut interminable et j'attendais désespérément que Chiyo vienne me chercher pour mettre fin à cette souffrance... Mais elle n'en fit rien.  A bout de patience je sortit de la pièce sous le regard interrogateur de mes prétendantes.
    Je partie chercher ma mère, je ne pouvais plus tenir, j'en avais assez ! Tout sa c'était trop, un prince ! non mais la bonne blague laissez moi rire... J'en avais assez.
    En entrant dans la salle, ma mère avait un sourire satisfait sur son visage et une jeune femme habillée en Maid se tenait à coté d'elle.


    "-J'ai fais mon choix.
    -Alors ce sera Ambre ? parfait ! Je vais faire les préparations. Tien en passant je te présente ta nouvelle servante.
    -Non en fait mère je... PARDON ? Nouvelle servante ? Mais pourquoi ? Où est Chiyo ?
    -Tu vas te marier tu n'as pas besoin d'elle ! Et ce jeune Dake m'a fait une offre que je ne pus refuser.
    -Dake ?"
    A ses mots je partis sans chercher à comprendre quoi que ce soit.




    PDV Chiyo:


    Je me réveilla difficilement, j'étais sur le sol dans une grande pièce habillée avec un vêtement de Maid pour le moins... provoquant. Dake se tenait devant moi. Je perdis tout espoire. Castiel avait choisi la future Reine. Je devais oublier tout ca... J'ai été conne de croire  à ses idioties.
    Je me leva et fis la révérence à Dake. Un sourire sadique apparu sur son visage.


    "-Que voulez vous de moi ?
    -Là je savoure ma victoire. Malheureusement pour toi, cette fois ton petit Prince ne sera pas là pour te sauver.
    -Tu ne devrais pas parler trop vite.
    C'était Castiel. Je ne pus me retenir de courir vers lui mais Dake m'attrapa et mit son bras autours de mon coup face à Castiel. Un canif caressait ma gorge.

    -Si tu fais quoi que ce soit, je la tue sur le champ. Qui s'en rendra compte ?
    -Moi. J'men rendrais compte et je crois que tu as oublié que je suis encore ton prince.
    -Oh non, mais ta mère ne serait pas décu si cette fille disparaissait.
    -Tu crois qu'elle le serait si c'était toi ?"



    A ses mots, un de ses rapaces entra par la fenêtre et désarma Dake. Il vint se poser sur Castiel et Hurla à la mort. Castiel, ses yeux gris devenus noirs lui porta le coup ultime. Dake tomba à terre.
    Je ne réagi pas tout de suite. Lui fixait le corps de Dake. Tout sétait passé trop vite. J'étais comme paralysée. Sans quitter le sol du regard Castiel s'avança vers moi et le pris la main. Il m'entraîna dans la calèche.


    "-C'est ma faute. J'aurais jamais du l'inviter, je savais très bien ce qu'il a derrière la tête. Je pensais que c'était fini. Mais quand j'ai crus t'avoir perdu... il se tourna vers moi. 'Me suis attaché Chiyo.
    -Mon Prince... Je...
    Il m'attrapa par le menton, et rapprocha son visage du miens.

    -Castiel, laisse moi être juste Castiel avec toi..."


    Ses yeux étaient plongés dans les miens. Son être était en moi, et je sentais quelque chose que je n'avais jamais sentis avant. Il savait qui il était, et il savait qu'au fond de lui, il n'était pas prince.

    La calèche s'arrêta. Il descendit et me tendis la main. Je la saisi. J'avais perdu mon statue de servante et lui de prince. Nous étions seulement deux personnes.
    Il me conduisit secrètement dans sa chambre, et ferma la porte à clef.


    "-Tu vas rester cacher là ce soir, demain se déroule la cérémonie de mon pseudo mariage. Demain Chiyo, nous seront enfin libre.
    -Mais Castiel je ne comprends pas... Vous me voulez en servante pour vous et votre future femme ?
    Il saisi ma main.

    -Non pas ma servante. J'ai déjà choisi ma femme. Mais faudrait-il que cette femme aussi veuille de moi."


    J'avais le souffle coupée. Ses mots sont restés en suspend, comme si le temps s'était arrêté. Mais je ne voulais pas qu'il s'arrête. Je voulais vivre, vivre à ses cotés.


    "Je vous aimes Castiel."


    Il s'approcha de moi, par instinct je recula lentement, fixant ses lèvres entre-ouvertes. Mon dos se colla à la barre de son lit. Nos corps étaient l'un cotre l'autre. Nous n'en pouvions plus, cela faisait trop longtemps il fallait que cela cesse, nous avions trop forcés pour tenter de freiner nos plusions. C'était trop fort. Son front collé au miens, nos yeux étaient clos et nos levres se frolaient avec un désir incontrolable. Tout était doux, trop doux en comparaison à la fureure que nous éprouvions l'un pour l'autre.
    Il m'attrapa par la taille, mes mains se posèrent sur sa chemise que je déchira pour pouvoir toucher son torse. Nos yeux se rouvrirent quelques secondes. Et il posa ses levres sur les miennes, il me serrait plus que jamais. J'attrapais ses cheveux de feu entre mes doigts et ne pouvant séparer nos lèvres, il me leva et me déposa sur le lit.

    Là, nous étions enfin une seule personne. Cette nuit scella à jamais notre désir. Je griffais son dos, lui me dévorais le coup. Et sans plus de retenue je laissa échappée, "Je t'aime Castiel." Il leva les yeux me regardais et me chuchotta à l'oreille, "Je t'aime Chiyo." Nous avons étouffés nos cris de plaisir dans le coup de l'autre.

    J'ai dormis merveilleusement cette nuit là.


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